Chapelle de Philippe Arrhidée (Philippe Arrhidée) Localisation actuelle : ZCT - Zone centrale du temple

Le monument connu sous le nom de Chapelle de Philippe Arrhidée est l’édifice en granite bâti dans la zone centrale du temple d’Amon-Rê à Karnak (ZCT.SB.1-2). Reposoir permanent de la barque divine, il occupe le même emplacement que la chapelle-reposoir de Thoutmosis III, insérée dans le complexe du « Palais de Maât » construit sous le règne d’Hatchepsout. Longtemps considérée comme une copie fidèle de l’édifice de Thoutmosis III, la chapelle-reposoir de Philippe Arrhidée, bien qu’étant largement inspirée par la construction thoutmoside, présente des spécificités notables. Occupant une surface de 6,34 x 17,83 m pour une hauteur maximale de 6,85 m, le monument se compose de deux salles en enfilade sur l’axe central du temple d’Amon-Rê, le vestibule et le sanctuaire. « Le support des apparitions d’Amon » ou « (l’édifice) qui supporte les apparitions d’Amon » (wṯst ḫʿw Jmn) est le nom donné à la chapelle-reposoir (et à celle au nom de Thoutmosis III qui l’a précédée).


Voir toutes les informations concernant ce document dans le projet Karnak »



Responsable du service des Archives scientifiques du CFEETK : Jérémy Hourdin : jeremy.hourdin@cnrs.fr

Interface de consultation des Archives scientifiques du CFEETK - Centre Franco-Égyptien d’Étude des Temples de Karnak
© CNRS / Sébastien Biston-Moulin

version 0.2
10 276 657 visites - 67 visite(s) aujourd'hui - 6 connecte(s)
13 038 685 photographies téléchargées.







Cette interface de consultation des archives scientifiques du Cfeetk a été réalisée dans le cadre du projet Karnak (CNRS, USR 3172 - CFEETK / UMR 5140, Équipe ENiM - Programme « Investissement d’Avenir » ANR-11-LABX-0032-01 Labex ARCHIMEDE)

Les métadonnées des images sont affichées depuis ArcheoGrid Karnak développé par ArchéoVision, l’interface de gestion et de documentation des archives scientifiques du Cfeetk. La structuration topographique et les informations concernant les sujets des photographies sont issus du projet Karnak. Les documents en pleine résolution sont affichés depuis Nakala le service de dépôt, documentation et diffusion des données de la recherche mis en place par Huma-Num, la très grande infrastructure française des humanités numériques.